Comme nous l’avons évoqué à plusieurs reprises, la signature de la paix ce n’et pas pour tout de suite... Et pour cause. Les mouches du coche européennes menées par Macron ont beau lancer des ultimatum, donner des ordres, insulter Poutine et prendre Trump à témoin, c’est ne sont pas eux qui décideront de la fin de la guerre. Piètres négociateurs qui se voudraient juges et partie !
La paix ? Ils la décideront d’autant moins qu’ils bloquent tout puisqu’ils encouragent Zelensky à refuser toute négociation tant que les forces russes n’auront pas quitté les territoires russophones, Donbass et Crimée… Or, la guerre a été déclarée à cause des mauvais traitements infligés aux populations par Zelenski… Poutine n’a pas fait tout ça pour abandonner les siens aux mains du taré et dangereux Zelnsky ! Dire que la paix serait faite depuis des années si Macron une fois de plus n’avait pas poussé Zelensky à ne pas la faire, en s’engageant à lui fournir argent et armes… Macron et ses copains va-t-en guerre continuent d’ailleurs de tout faire pour que la guerre ait lieu… histoire de faire oublier leurs bilans désastreux de mondialistes ?
Trump s’est mis en retrait, ayant compris lors de son entretien avec Poutine le bien-fondé de la position de Trump et l’obstination des va-t-en guerre européens…
Pour l’heure juste un échange de 1000 prisonniers entre Kiev et Moscou sous le patronage de la Turquie entre le 23 et le 25 mai. Mais les combats sur le terrain continuent. Poutine n’a aucune raison de faire des cadeaux à Zelensky qui ne pense qu’à prolonger la guerre et entraîner toute l’Europe contre la Russie… Poutine est trop bon stratège pour se faire avoir par une fausse paix juste destinée à redonner du souffle et des forces à ses ennemis pour mieux repartir à l’attaque !
La Turquie, qui depuis le début est restée neutre face aux deux belligérants a pu jouer son rôle justement parce qu’elle n’a pas pris parti.
Zelensky et ses mauvais conseillers devrait accepter de négocier avec Poutine au lieu de s’entêter à demander l’impossible, à savoir le retour à la situation de 2021. C’est juste impossible..
Un bilan humain déjà lourdTrois ans après le début de l’invasion, le coût humain de la guerre atteint des sommets vertigineux. Du côté ukrainien, les pertes militaires sont estimées entre 43 000 et 80 000 morts, et plus de 370 000 blessés. La Russie, de son côté, aurait perdu jusqu’à 250 000 soldats, selon les services de renseignement britanniques, pour plus de 700 000 blessés. Chez les civils, le Haut-Commissariat des Nations Unies (HCDH) comptabilise 13 134 morts en Ukraine et environ 31 000 blessés. Des chiffres largement sous-estimés selon les ONG, en raison de l’opacité des zones occupées. En Russie, environ 650 civils auraient perdu la vie en raison des frappes ukrainiennes, principalement dans les régions frontalières de Belgorod et de Koursk. Une dynamique diplomatique encore fragileSi cet échange de prisonniers a relancé les canaux de communication, aucune perspective sérieuse de cessez-le-feu ne se dessine. Kiev exige le retrait total des troupes russes et la restitution de tous ses territoires, dont la Crimée. Moscou, de son côté, refuse de renoncer aux territoires qu’elle estime avoir libérés, notamment dans le Donbass et le sud-est du pays. Emmanuel Macron, au cours d’une interview sur TF1, a cependant reconnu, pour la première fois, que « même les Ukrainiens savent qu’ils ne récupéreront probablement pas tous leurs territoires». La Turquie continue de jouer un rôle moteur. Recep Tayyip Erdogan, en quête de reconnaissance diplomatique, espère tirer parti de cette avancée en organisant une nouvelle série de discussions. Dans le même temps, le Vatican s’est proposé comme hôte pour d’éventuelles négociations, une initiative soutenue par Donald Trump et Giorgia Meloni. Aucun calendrier n’a pour l’instant été annoncé. Reste à savoir si cette première étape humanitaire pourra se transformer en négociations de paix à l’avenir.
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